CÉCIL DIJOUX
Guitariste, auteur-compositeur, ingé son, graphic designer et CEO de Supernormal
Quelle chanson fredonnes-tu sous la douche ?
Cela change tous les jours. Ce matin c’était « Don’t Look Back In Anger » d’Oasis .
L’homme ou la femme qui te fait fantasmer ?
Pour la femme ce serait Kate Winslet.
Que détestais-tu le plus étant enfant ?
Ma condition sociale.
Ton film culte ?
« Melancholia » de Lars Von Trier.
Ton idole ?
Johnny Marr, le guitariste des Smiths.
La personnalité qui t’as le plus marqué dans ton parcours ?
J’ai fait un entretien avec Jean-Louis Murat et c’était très émouvant.
Quel adjectif te définit le mieux ?
Enthousiaste et hyperactif.
Ta première pensée le matin ?
En ce moment c’est : « Wahou, j’ai bien dormi ! »
Est-ce qu’il y a une époque ou tu aurais aimé vivre ?
Non, pas du tout. Je suis très bien dans mon époque.
Quelle est le plus gros dilemme que tu ai rencontré ?
Laisser ma famille et tous mes copains pour partir à l’étranger.
Ta citation préférée ?
« L’exil est un rêve de retour glorieux » de Salman Rushdie.
As-tu une manie qui énerve tes proches ?
Oui, je me racle en permanence la gorge.
Ta définition du bonheur ?
Ne pas avoir a y penser car lorsque l’on y pense pas, c’est que l’on est heureux.
As-tu une addiction dont tu as honte ?
Le chocolat ou écouter la musique fort.
Quel est le dernier chanteur ou groupe que tu as découvert ?
Washed Out et Okkervil River.
Est-ce qu’il y a une mot qui te dégoûte particulièrement ?
Ce n’est pas un mot, c’est une expression : « L’avocat du diable ».
Un rêve que tu souhaites réaliser ?
Ecrire un roman ou faire un marathon.
Quel animal serais-tu ?
Je pense que je serais un écureuil.
Qu’est-ce que la normalité selon toi ?
Un combat quotidien.
Collectionnes-tu un objet ?
Les guitares.
Ta blague préférée ?
Sais-tu ce que dit un rasta quand il n’a plus d’herbe à fumer ?
« C’est quoi cette musique de merde ! »