RICHARD BELLIA
Suit et photographie le monde de la musique depuis 1980. Travaille en argentique, s’auto édite, expose un peu partout et prépare “Un Œil sur la Musique 1982 – 2013”, 720 pages, 5 kilos.
www.facebook.com/pages/Richard-Bellia-Photographe/193295692753?ref=hl
Quel est l’objet que tu as collectionné ou que tu aimerais collectionner ?
Les optiques Carl Zeiss.
Quel est ton film culte ?
Ilford Hp5
Ta définition du bonheur ?
Je ne sais pas, je cherche.
As-tu une manie qui énerve tes proches ?
Ta citation préférée ?
« Tous les cochons ne finissent pas vieux mais tous les vieux finissent cochons »
A quelle autre époque aurais-tu aimé vivre ?
J’aurai bien aimé commencer la photo cinq ans plus tôt.
Le dernier chanteur ou groupe que tu as découvert récemment et qui t’as marqué ?
King Krule, Nicolas Jaar et François Virot.
Si étais un animal, tu serais ?
Je suis un animal, si ça se trouve.
Quel est le lieux où tu te sens vraiment bien ?
Les soirs de vernissage.
As-tu un rêve que tu n’as pas encore réalisé et qui te tient à cœur ?
J’aimerais bien que la National Gallery de Londres m’appelle un jour. J’ai peu d’espoirs.
Quelle est ta plus grosse honte ?
1 / En 1998, quand j’ai dit : « WOW, 128 méga de RAM, ça change la vie ! »
2 / En novembre 2004 : “Non mais le numérique, c’est pareil. Là, je viens de me payer un Leica avec un grand écran au dos, les photos font 4Mo, je te montrerai c’est pareil.”
3 / Une fois, je suis allé taper des feuilles à Sinsemilia dans un backstage en 2010. La grosse honte.
Qu’est ce que tu aimes le plus chez une femme ?
Qu’elle vive avec moi.
Quelle est la personnalité qui t’as marqué sur ton chemin ?
J’ai le souvenir d’avoir été très (très) content de serrer la main à Paul McCartney.
As-tu une petite blague à nous raconter ?
Comment tu appelles un boomerang qui ne revient pas ? Un bout de bois.
Que détestais tu le plus quand tu étais enfant ?
La musique à la radio.