(Autoproduction)
Un album doux et chaud comme un plaid pour l’hiver ou la caresse du soleil en été. Germaine Kobo nous raconte des histoires d’amour avec « Africaine de la rue Paradis » ou de désamour avec « Ne nous parlons plus ». Elle nous propose un voyage en musique à travers le monde et les âmes, avec quelques mots de Lingala, de congolais, d’anglais ou d’espagnol, des sonorités world. Pour ce premier album, elle fait appel à des instruments comme la kora ou le gu zheng, harpe traditionnelle chinoise, qui donnent un ton intemporel à ses chansons.