Véronique Seard
(éditrice Salves d’or Production)
Si tu étais un arbre ?
Un olivier.
Un objet que tu as déjà collectionné ?
J’ai arrêté il y a 2 ans, mais j’ai une collection de 2000 ou 3000 boules à neige.
Qu’aimes-tu le plus chez une personne du sexe opposé ?
Le regard.
Une rencontre qui a marqué ton existence ?
Aucune.
Ta chanson préférée ?
Besoin de toi, envie de rien.
Ta plus grande bêtise ?
Je ne fais pas de bêtise.
Un film culte ?
J’en ai même deux, « The Way We Were » et « Nos plus belles années ».
Une devise ?
Ce qui ne tue pas, rend plus fort.
Un mot qui te dégoûte ?
Ragot.
Homme ou femme qui te fait fantasmer ?
Victoria Abril et Bruce Willis.
La définition du bonheur ?
Voyager avec ma fille.
Une habitude ?
Faire la vaisselle avant de dormir, je n’aime pas laisser un évier rempli.
Ta dernière découverte de groupe ou chanteur ?
Hozier.
Ce qui t’énerve le plus dans la musique actuelle ?
Ce que moi j’appelle, les chansons kleenex. Il n’y a plus de carrière on fait un titre ou deux après on disparait, les artistes n’ont plus le temps de s’installer.
Une petite blague ?
C’est l’histoire d’un jeune garçon qui, à chaque fois qu’il se rend aux toilettes, voit sa mère entrain de se caresser en gémissant « Je veux un homme », jusqu’au jour où il la surprend avec un homme. Il s’enferme alors dans sa chambre et se met à se caresser lui aussi en répétant » Je veux un vélo ».