SANDRINE MULAS
Photographe, Vidéo Maker
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Qu’est-ce qui te gonfle le plus dans la musique actuellement ?
Les gens qui disent « j’connais pas ». Cela donne l’impression que nous pouvons exister dans la musique que si nous passons sur des grosses radios. Il y a 10 personnes médiatisées pour 3 milliards d’artistes et ça, ça me gonfle.
Ta première pensée le matin ?
Regarder mon Instagram, je sais c’est horrible.
L’adjectif qui te caractérise ?
L’empathie, j’ai énormément d’empathie, trop parfois.
Le dernier chanteur ou groupe que tu as découvert ?
Super Pop Corn.
A quelle époque aurais-tu aimé vivre ?
Au moyen Age.
Ta citation préférée ?
La plus relou : viser les étoiles pour atteindre la Lune.
Qu’est-ce que tu détestais le plus étant enfant ?
L’injustice, j’ai toujours eu tendance à être honnête. Et en tant qu’enfant les adultes ne nous croient pas forcement.
L’homme ou la femme qui te fait fantasmer ?
Lenny Kravitz, mon dieu.
Un gros moment de solitude ?
La première fois que j’ai vu Benjamin Biolay, je n’arrivais pas à sortir une phrase, j’étais là pour travailler avec lui, j’avais trop honte.
Si tu avais un vœu à faire ?
Que chacun arrête d’être malheureux dans le travail.
Un truc craignos auquel tu es accro ?
Le Nutella.
Ton film culte ?
« Jeux d’enfants » avec Guillaume Canet et Marion Cotillard.
Si tu étais une fleur ?
Une rose rouge.
Une rencontre marquante ?
Jacques Chirac, peu importe le bord politique, il m’avait impressionné par ce qu’il dégageait. Un objet que tu as collectionné ?
Je ne m’attache pas aux choses, je ne suis pas matérielle.
Ta chanson préférée ?
U-turn Lilly, je la veux à mon enterrement.
Une blague à nous raconter ?
A quoi ressemble une foufoune après l’amour ? Un bulldog qui a mangé du yaourt !
