MA PLAYLIST : NICOLAS ANDRÉ

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Responsable communication & Relations Publiques à Paloma et This Is Not A Love Song – Nîmes (30).

paloma-nimes.fr

#NVmagMaPlaylist

 

Ta personnalité, ton parcours?

Je dirais curieux, j’essaie de m’intéresser à tout, à la musique forcément, j’en fait mon métier depuis 12 ans, mais aussi l’art en général, l’écologie, la politique, l’actualité… J’aime sortir de ma zone de confort, découvrir, échanger. Mon action, c’est faire qu’il y ait du monde à nos concerts forcément, mais également apporter de la proximité autour d’une salle qui peut paraître parfois un gros vaisseau, mais gérée par une très belle équipe de passionnés.

 

Ta playlist ?

– Musique : En ce moment ce serait “Gece”, l’album des turques d’Altin Gün, et notamment le tube “Süpürgesi Yoncadan”.

Sinon DTSQ “Stay Puft Marshmallow Man Is Coming”, rock noise psyché coréen.

– Cinéma : Parasite, une histoire de famille rocambolesque avec toute la folie du réalisateur coréen Bong Joon-Ho.

– Livre : Le roman “La guerre de la fin du monde” du péruvien Mario Vargas Llosa, tiré de l’histoire vraie de la guerre des Canudos à la fin du XIX° siècle au Brésil.

– Concert : La grosse claque, les américains de Prettiest Eyes au This Is Not A Love Song festival et leur garage psyché. Une basse autoroute, des sons grinçants, saturés, de l’énergie brute.

– Evénement : Pas une date joyeuse, le 1er janvier, Jaïr Bolsonaro, raciste, homophobe, sexiste, climatosceptique commence son mandat au Brésil. On connaît la suite.

 

Ta plus grande émotion musicale ?

Le concert-révélation qui m’a fait travailler dans ce milieu, Orange Blossom en 2002 je crois à Montluçon (03). J’avais été subjugué par l’énergie scénique, ce mélange électro arabisant, la magnifique voix de Leïla Bounous, l’alchimie des percussions, la folie du violoniste et cette liesse collective. Je me suis dit « c’est ça que je veux faire, donner du bonheur aux gens. »

 

Ton espoir pour le futur ?

Que les gouvernements mondiaux prennent des mesures radicales et définitives en faveur d’un monde plus juste et proposent un état de guerre climatique mondiale. Une utopie. Un proverbe indien résume bien la chose :

“Quand le dernier arbre aura été abattu – Quand la dernière rivière aura été empoisonnée – Quand le dernier poisson aura été péché – Alors on saura que l’argent ne se mange pas.”

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