(Autoproduction)
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Le dernier EP de Vlad’sin, commence comme un réveil matin avec des riffs de guitares saccadés. La voix punk du chanteur, monocorde, plante le décor. « Célibataire », plus festif, parle de la solitude lié au célibat et de la tristesse quotidienne de cette situation que certains peuvent ressentir. Des rythmes franchement rock, accompagnent l’ensemble de ce très court EP. Le titre éponyme de l’album « Vlad’sin », est mené par une ligne de basse omniprésente et agressive, qui fait le ping-pong rythmique avec la batterie. Dans « Crise Éternelle », le groupe dépeint le triste constat, d’une crise financière qui dure… mais nous mentirait-t-on ? « Tout le monde le sait », cinquième et dernier titre, de la galette, la clôture, sur fond de punk rock déjanté à la Garçons Bouchers, et dénonce le système et les politiques… Rien de nouveau me direz-vous ?
Céline Dehédin
