En sortant, son nouvel EP, épris de liberté, Tony Melvil vous invite à découvrir sa chevauchée infernale. « On m’a dit », raconte l’histoire d’un gars et d’une fille qui se séparent et veulent rester amis, mais bien sûr comme chacun sait, cela paraît peu probable. « Les miroirs à l’envers », au son du violon de Delbi, n’est pas sans rappeler les sonorités de Louise Attaque. « L’esprit aventurier » plus léger, et sur un ton humoristique, narre la vie d’un aventurier plutôt gauche et maladroit, qui se lance dans des défis improbables pour plaire aux filles. « Sans langue sans visage », résolument plus rock, au son de la guitare électrique, distille la voix suave de Tony. « Bien avant » en clôture du disque est une ballade à la guitare acoustique, dans laquelle les influences très « Brel » du chanteur ressortent. Un EP 5 titres, qui effleure votre âme et fait frissonner vos oreilles.
